Biopiraterie – Quelles alternatives au pillage des ressources naturelles et des savoirs ancestraux ?

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Description

La convention sur la diversité biologique a posé en 1992 les bases d’un commerce éthique et durable de la biodiversité. Pourtant, aujourd’hui encore, peu d’instruments existent pour faciliter la prise en compte des questions du biocommerce éthique par les acteurs privés concernés, notamment dans l’industrie cosmétique et dans les secteurs utilisant des ingrédients naturels. L’objectif de cet ouvrage est de présenter les enjeux du dialogue entre entreprises et communautés traditionnelles sur la biodiversité et les savoirs associés.
Cette analyse s’appuie sur différents cas pratiques d’entreprises valorisant la biodiversité locale en coopération avec des communautés autochtones ou rurales. Elle permet d’éclairer les notions encore peu connues de biopiraterie et de biocommerce éthique en tentant d’en définir les principes fondateurs. De nombreux États étant encore peu présents sur ce terrain, l’auteur se propose également d’évaluer la pertinence des labels et des systèmes de garantie les plus usités pour garantir le respect de ces nouveaux principes.
Enfin, il indique quelques pistes pour l’élaboration de modèles de préservation et de partage des savoirs liés au vivant afin que la lutte contre la biopiraterie puisse se généraliser à travers le monde.

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