L’échec de l’État de droit en Afrique

CHF28.00



Catégories : , Étiquettes : ,

Description

L’Etat colonial a légué à l’Afrique non seulement le mode de production capitaliste, et avec lui l’embryon d’un nouveau système de classes sociales, mais également, par le biais de l’information et de la scolarisation, un certain type de culture en même temps qu’une manière de concevoir l’appareil institutionnel et juridique. Cet héritage forcé explique, en grande partie, pourquoi les dirigeants actuels de l’Afrique, quelles que soient leurs options fondamentales, capitalistes ou socialistes sont aujourd’hui confrontés à une situation difficile qui se caractérise à la fois par la crise des institutions politiques et par une position de dépendance souvent accrue à l’égard de l’ancienne métropole.

Le Prince Kum’a Ndumbe III. est un universitaire et militant panafricaniste de renommée internationale, un écrivain prolifique et l’héritier légitime du trône de Lock Priso (Kum’a Mbape), l’un des rois les plus importants des Sawas, peuple originaire du littoral camerounais. Toute sa vie, il s’est engagé pour la renaissance, la réhabilitation et l’examen (auto)critique des cultures africaines et de l’histoire du continent. Au début des années 1980, il a fondé à Douala le centre culturel africain indépendant: AfricAvenir.

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “L’échec de l’État de droit en Afrique”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *