La méthode Kuma

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Description

En 1822, la découvert de Jean-François Champollion relative à l’existence de l’élément phonétique dans le système d’écriture des anciens égyptiens met un terme aux réflections sur les équivalences symbboliques des hiéroglyphes présentées par Horapollon dans son traité intitulé Hiéroglyphica paru dans la deuxième moitié du Vième siècle, qui avait été exhumées durant les siècles par le jésuite Allemand Kircher et l’évêque Anglican Warburton. Depuis lors, des progrès significatifs ont été réalisés dans le domaine de la vocalisation des hiéroglyphes égyptiens. Avant Horapollon, il y avait eu Diodore de Sicile, qui appelle “lettres éthiopiennes” les caracatères sacrés  de l’ancienne Egypte, et surtout CHérémon, dont il reste quelques fragments d’un traité sur les hiéroglyphes écrit vers 50 dans lequel il rappelle également que les hiéroglyphes sont des “lettres symbliques éthiopiennes”. Des trois auteurs cités, Chérémon a eu l’avantage  d’être un hiérogrammate, c’est-à-dire un scribe formé à la lecture des hiéroglyphes égyptiens. L’intérêt renouvellé que nous accordons à ces auteurs vient du fait que tous traiten des hiéroglyphes comme d’un corpus de signes symboliques. Diodore de Sicile dit explicitement que ce n’est pas la réunion des syllabes qui révèle l’intelligence des “lettres éthiiopiennes”, mais la signifcaition méthaphorique attaché aux objets dessinés. Qu’enten-il par “métaphore” ? La réponse à cette question met en lumière une facette de l’écriture des ancines égyptiens qui n’a pas été investigués jusqu’ici

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